janvier 2018
L’ÉDITO .
2018 a pointé son nez, bienvenue à la nouvelle année ! D’après le nouveau calendrier nous débutons le Nouvel An par un lundi, pour tous les salariés de la planète, la semaine commence bien ! Et oui, ainsi le mardi 2 janvier on récupère le 31 décembre tombant un dimanche ! Prenons cela comme un bon signe pour attaquer un nouveau tour de rotation de la Terre autour du Soleil !
Nous espérons que vous avez passé de bonnes fêtes de fin d’année. Quelles sont vos nouvelles bonnes résolutions ? Avez-vous pu réaliser celles de l’année dernière ? Certains pensent que ce concept de bonnes résolutions du nouvel an est ridicule, enfantin ou superficiel. D’autres diraient qu’il n’y a pas besoin d’attendre le nouvel an ou n’importe quelle occasion pour faire de bonnes résolutions, et nous ne pourrons pas intégralement contredire ces derniers. Mais si nous nous amusons à disserter sur ces deux genres de réflexions auxquelles nous pouvons être confrontés dans notre entourage, il faut peut-être d’abord souligner l‘importance du contexte de nouvel an qui oriente l’acte dans le sens de « faire de bonnes résolutions pour le bien de soi-même et des autres en général » où l’on s’attend à des impacts positifs. Alors que si l’on supprime le contexte du nouvel an, « faire de bonnes résolutions » sans la notion sociale, l’acte devient plus personnel et égoïste. Imaginez un criminel qui s’abonne à la salle de fitness pour mieux commettre ses crimes au top de sa forme !
Dans tous les cas, les bonnes résolutions ne sont jamais mauvaises pour la personne qui les réalise, mais l’impact de celles-ci sur les autres ou autres choses il s’agit d’une autre question. Nous préférons citer un cas plus classique de bonnes résolutions qui transcendent : si vous êtes par exemple un amoureux de la cuisine qui suit régulièrement notre rubrique “Saveurs” pour essayer de préparer vous-mêmes des plats thaïs, un jour vous aimeriez certainement adapter certains plats à vos goûts ou inventer hardiment de nouvelles recettes, mais sans connaître les divers ingrédients thaïs disponibles sur les marchés locaux, cela limite votre créativité et vous n’osez tout simplement pas innover. Ce qui serait très dommage dans un pays comme la Thaïlande où nous avons des tas de fruits et légumes à profusion tout au long de l’année. Et si aujourd’hui, vous prenez la bonne résolution d’apprendre les caractéristiques des différents légumes thaïs grâce à l’article bien utile de Kohlidays, cela pourra vous aider et peut-être que de nouveaux délices seront à découvrir courant 2018 pour le bonheur de vos papilles linguales et celles de votre entourage !
En attendant de goûter de nouveaux plats, toute l’équipe du magazine vous souhaite une belle nouvelle année avec tous nos meilleurs vœux.