décembre 2016

L’ÉDITO .

Déjà le dernier mois de l’année, encore et toujours le temps file… “time flies” ou encore “วันเวลาผ่านไป” (wan welaa phaan paï). Cette notion serait donc une réalité pour tout le monde, quelles que soient nos racines ou couleur de peau, le temps est impartial, il passe inlassablement pour les riches comme pour les pauvres, indifféremment. Ne soyez pas déprimés par ce que je viens de dire, car ce n’était pas le but recherché, mais surtout n’oublions pas que c’est précisément ce fameux temps, qui nous est compté, qui nous inspire et nous pousse en même temps à réaliser des choses. Parce qu’on n’a pas toute l’éternité.
D’ailleurs c’est peut-être pour cette raison que la fin de l’année est également synonyme de festivités, retrouvailles familiales et amicales, occasion de faire des cadeaux à ceux qui “comptent” justement (comme le temps) pour nous. Ce temps, ravageur à première vue, est en réalité un véritable moteur de toute notre existence. Soyons malheureux, parfois, pour mieux être heureux ensuite. En tout cas, c’est ce que l’équipe de L’indicateur vous souhaite, chers lecteurs, ainsi qu’à tous nos amis thaïs qui traversent actuellement une période d’immense tristesse. Car encore quotidiennement, et ce depuis le 28 octobre, date à laquelle les portes du Grand Palais Dusit Mahaprasat se sont ouvertes au public, plusieurs dizaines de milliers de personnes provenant des quatre coins du royaume se déplacent pour rendre un ultime hommage, un dernier adieu.
Mais comme on dit toujours : “après la pluie, le beau temps” – “every cloud has a silver lining” ou “ฟ้าหลังฝน” (faa hlang fon), il semblerait que cette notion soit également universelle ! Ou du moins “thai-franglosaxon” !
Passez d’excellentes fêtes de fin d’année, bonne lecture et à l’année prochaine !

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